Sortie brame du cerf du jeudi 29 Septembre
Effectif : 30 dont l'incontournable Jean-Paul Cormier.
Réussie ! S'il y avait un titre à donner à cette
sortie ce serait bien celui là, non? Le départ
était prévu à 18h30, et nous avions donné
un rendez-vous à l'église de St Philbert-du-peuple. Une
fois tout le monde réuni, les huit voitures se dirigent vers la
forêt de Monnaie, pour un petit pique-nique convivial, avec
évidemment les traditionnels cidres et muscats offerts par
l'ANUA. Il est alors huit heure, tout le monde range ses affaires puis
s'installe pour l'écoute... Après trois quarts d'heure
d'attente, au loin, se font entendre les premiers cris gutturaux. 21h45
: direction le deuxième site en suivant les cris entendus...
Arrivés dans la forêt, à peine descendus de voiture
(et les dernières portières claquées), un
mâle nous régale de son timbre de voix à quelques
centaines de mètres. Nous restons quelques minutes puis
décidons de nous rapprocher. Vraisemblablement il semble
répondre à d'autres mâles plus lointains. Le groupe
s'arrête au bord de la route avant que Nono et Paping aient
découvert une clairière... Silencieusement nous nous
approchons, et nous arrêtons au bord de cette étendue. Le
cerf semble se tenir à environ deux cents mètres, on
dirait qu'il tourne sur lui-même pour bramer. Nous avons
même la chance d'entendre ses bois claquer contre les troncs
(technique d'intimidation). Nous stationnerons sur ce site une heure,
juste le temps pour Tom de faire ses enregistrements. A signaler au
passage l'écoute d'au moins quatre mâles en rut.
Dernière étape : direction le centre de la forêt
où nous avons pu entendre, de loin d'autres raires, mais dans
toutes les directions, ce qui nous permet de nous rentre compte du
nombre de cerfs présents. Évidemment on ne parlerait pas
de sortie ANUA si personne n'avait observé le ciel à
l'œil nu, si personne ne s'était attardé sur les
hululements d'une chouette effraie, ainsi que ceux d'un couple de
hulottes. Pour finir, tout le bureau de l'ANUA tient à remercier
Monsieur Cormier pour sa présence, ainsi que pour nous avoir
prêté le matériel d'enregistrement du Laboratoire
d'Écologie Animale, et cela va sans dire, à tous les
participants : "merci !".
Perspectives : enregistrement de vidéos grâce à des
lunettes de vision nocturne, couplage de cette sortie avec une sortie
chiroptères (matériel de détection ultrasons) ou
astronomie à l'œil nu.
Sortie Multi-thème sur le littoral vendéen
Effectif : 30 dont l'inévitable Jean-Paul Cormier
Le rendez-vous était donné pour 8h00, le départ
vers 8h30, et l'arrivée à l'église de Bouin
vers10h30. L'équipage piloté par Jean-Paul Cormier
étant arrivé une demi-heure en avance en Vendée,
nous avons eu le temps de repérer les différents spots
d'observation.
De retour au point de rendez-vous à 10h30, l’ ANUA se
dirige vers la côte pour une petite leçon sur les macro
invertébrés. La marée est au plus bas, le temps
pour nous de faire un inventaire de la flore et de la faune
présente. La Baie de Bourgneuf étant une baie vaseuse, la
diversité n’est pas celle escomptée. Cependant,
nous avons réussi à observer différentes Algues
(Fucus, Ulve, etc.), une Angiosperme (la Spartine), mais surtout de
nombreux Lamellibranches (Palourde, Crépidule, Scrobiculaire,
Coque, Huître, etc.), une espèce de ver
(Néréis), quelques Crustacés : Balane et Crabe
vert avec à l’exercice de reconnaissance de sexe tous les
participants : alors mâle ou femelle ? Essayez-vous dans
l’album du site ! le mâle a l’abdomen pointu et
dépourvu de soies, alors que l’abdomen des femelles est
plus arrondi et possède des soies, cette disposition lui
permettant de maintenir les œufs pendant la période
d’incubation.
La marée commence alors à remonter et les premier oiseaux
arrivent : place aux Hérons Cendrés, Tadornes de Belon,
Aigrettes Garzette et Ibis Sacrés, non décrits dans les
guides de reconnaissance. En fait cet oiseau originaire d’Egypte
était présent dans la réserve de
Branféré où il se reproduisait. Malheureusement
certains juvéniles parvinrent à s’échapper
de la réserve, ils grandirent et se reproduisirent, allant
actuellement jusqu’à poser de graves problèmes
écologiques, notamment destruction de colonies de Sternes ou de
Gravelots. Le groupe se retire sur la digue où Monsieur Cormier
nous décrit Betta maritima. La marée continue alors
à monter et le ventre du groupe commence à gargouiller.
Nous rejoignons le second point de vue un peu plus au nord pour
d’abord prendre l’apéritif proposé par
l’ANUA, puis pour manger et décrire (non sans mal) la
Soude maritime et avec sans mal ( J) l’Aneth fenouil.
Sur le long chemin bétonné qui nous mène à
notre troisième point d’observation un petit groupe aura
la chance de trouver un œuf de Raie. D’après
Monsieur Cormier il diffère de celui de Roussette car les
appendices sont raides et non torsadés. Arrivés au niveau
de notre spot d’observation, la discrétion est de mise.
Après un léger affolement, les oiseaux initialement
présents se posent à nouveau : il s’agit
essentiellement de Bécasseaux variables et de Pluviers
argentés. Deux constructions étranges se
révèlent être des huttes de Rat musqué.
L’heure a alors sérieusement avancé, et
l’énergie présente au petit matin semble
s’être estompée. Nous décidons donc (pour
ceux ne restant pas sur place le Week-end entier) de nous diriger vers
le dernier point d’observation : les canaux plus dans les terres.
Nous aurons la chance d’observer un nombre impressionnant de
Hérons Garde-bœuf, quelques Vanneaux Huppés, sans
oublier quelques Busards des Roseaux, ainsi qu’un Ragondin de
très (très) près… L’ANUA tient
à remercier sincèrement Jean-Paul Cormier pour sa
présence, son dynamisme, son implication au sein de
l’association et surtout pour sa générosité
envers l’ANUA, et merci aux autres participants…
Sortie Champignons du 5 novembre 2005
Effectif 23 dont 23 étudiants
Rendez-vous à 9h00 cette fois-ci, toujours au même endroit
: UFR Sciences Belle-Beille, on rassemble la troupe et direction la
forêt de Longuenée, à une vingtaine de
kilomètres au nord ouest d’Angers. Sur place nous devions
nous retrouver à la maison forestière du Pas de Chat,
malheureusement pour certains l’information était mal
passée, et tout le monde est là à 10h00. Formation
des petits groupes de cueillette (deux ou trois ou six…) pour
une heure de chasse au champignon. Vadrouille dans les plantations de
Pin Laricio, dans les chênaies centenaires et dans les bois
mixtes, pour enfin revenir (à l’heure) avec les paniers
pleins !!! Des journaux sont étalés par terre et chaque
groupe y dispose sa cueillette. Le nombre d’espèces se
montre déjà impressionnant et malgré de nombreux
mycophiles beaucoup d’espèces restent
indéterminées.
Mais l’ANUA ne baisse jamais les bras, c’est pour cela
qu’elle décide d’aller dans un coin connu : …
Non mais vous croyez quand même pas que j’allais vous
donner le meilleur coin à Coulemelles de la région non
mais alors… Bref second point de ralliement, le cortège
mené par Julien se dirige à l’opposé de la
maison forestière, où huit jours auparavant le bureau
avait fait un repérage et récolté pas moins de 5
kilos de Coulemelles. Malheureusement les Coulemelles
n’étaient pas au rendez vous ce jour là. Cependant
la diversité était celle espérée : encore
de nombreuses espèces…et beaucoup de non
identifiées.
Inventaire non exhaustif des Mycètes observés ; pour les
autres espèces jetez un coup d’œil à
l’album, ou demandez au Bureau !
Boletus pulverulentus, Xerocomus badius (Bolet bai), Hygrophoropsis
aurantiaca (Fausse girolle), Paxillus involutus (Paxille
enroulé), Russula sp., Lactarius sp., Clitocybe sp., Lepista
inversa (Clitocybe inversé), Laccaria amethystea (Laque
améthyste), Mycena alcalina, Mycena pura var.
rosea(Mycène pure), Hypholoma fasciculare (Hypholome en
touffes), Macrolepiota procera (Grande coulemelle), Amanita rubescens
(Golmotte), Amanita citrina (Amanite citrine dont un exemplaire blanc),
Phallus impudicus (Satyre puant), Scleroderma areolatum (Vesse de
loup), Calocera viscosa, Sparassis crispa, Pseudohydnum gelatinosum,
ainsi qu’un poilu, un gros noir, et plein de tout petits.
Pour une identification plus sûre, Arnaud et Tom se sont rendus
au Musée du Champignon à St Hilaire St Florent,
près de Saumur, ou ils ont rencontré Olivier, mycologue
émérite, qui les a fortement aidé.
D’autre part l’ANUA tient à signaler quelques points
important pour la cueillette des champignons : A tous les Mycophages :
ne coupez pas le pied d’un champignon lorsque vous le ramassez :
il peut tout d’abord vous aider à l’identifier, mais
aussi en pourrissant il entraîne le pourrissement du
mycélium. Ensuite : munissez vous d’un panier large
à fond plat pour éviter d’abîmer vos
champignons et surtout éviter les sacs plastiques : un
champignon cueilli risque de fermenter, ce qui peut être
néfaste aux autres champignons comestibles fragiles ou de
conservation délicate récoltés. Un champignon
comestible conservé dans un sac plastique peut donc devenir
toxique ! Enfin si vous voulez retrouver chaque année vos
champignons au même endroit appliquez une technique simple :
prenez le pied et imprimez lui une rotation pour éviter
d’arracher tout le mycélium !
Cette fois-ci les remerciements vont aux membres du Bureau… je
plaisante ! Merci à Olivier pour sa sympathie, sa passion mais
surtout pour ses compétences plus que remarquables, et merci
à vous tous d’être venus encore une fois si nombreux
!
Sortie ornithologie en Brenne du 19 Novembre, réserve naturelle de Chérine :
Effectif : Une huitaine d’étudiants motivés pour partir à 7h30 avec un froid de canard…
Après les deux bonnes heures nécessaires pour parvenir
à ce coin de paradis, le petit groupe parvient à
l’étang Cistude. Malheureusement, le niveau de l’eau
est un peu bas, et la saison hivernale peu avancée, ce qui
explique le faible nombre d’espèces observées. En
revanche, et c’est (presque) toujours le cas lors des sorties
ANUA, la chance nous sourit. Pendant quelques secondes, un sanglier
nous régale… d’une petite balade au bord de
l’eau à quelques dizaines de mètre de
l’observatoire où nous nous trouvons, puis retourne dans
la roselière. Le petit groupe décide alors de se diriger
vers l’étang Foucault. Le spectacle n’y est alors
pas plus intéressant, à l’exception d’un
groupe de naturalistes qui nous suivra toute la journée…
Ah si, quelque chose d’intéressant : un magnifique
chevreuil traverse juste (vraiment juste !) devant la voiture de
Julien, qui ne l’a même pas vu… Revenons à
nos sarcelles : il y en avait un peu, il y avait du colvert (beaucoup),
un peu de fuligule morillon, un peu de canard souchet, du siffleur et
du pilet. Il y avait aussi beaucoup de Hérons cendrés,
quelques Cormorans, bref, pas grand chose d’exceptionnel. Le
repas, précédé du traditionnel cidre de
l’ANUA, a lieu au bord de l’étang Chérine,
à sec pour l’occasion, oui, oui, on ne fait pas les choses
à moitié à l’ANUA, on allait pas prendre le
risque de se mouiller les pieds… Trève de jacqueries, cet
arrêt aura tout de même permis aux participants
d’observer d’énormes moules d’eau douce, avec
une scène d’anthologie entre Laurent, Arnaud, Julien et
Thomas : « oh regardez une moule d’eau douce ! Ah oui
regarde la mienne, elle est grosse, hein ? Non regardez celle-là
les gars si elle est pas belle ! Je crois que je tiens le record :
regardez la mienne… oh la vache ! »
Bon promis j’arrête les comptes-rendus pas
terribles…mais que voulez vous que je vous dise : une sortie
ANUA reste une sortie ANUA, alors nous avons
persévéré, et nous avons vu : ben toujours rien.
Ca arrive parfois, la sortie avait peut être été
prévue un peu tôt dans la saison, étant
donné la douceur tardive de cet automne. Mais bon je pense, et
tous les participants seront d’accord, que c’était
une sortie exceptionnelle, non pas sur le plan ornithologique, mais sur
le plan naturaliste en général.
Tous les participants tiennent à remercier le laboratoire
d’écologie animale, et surtout Jean-Paul CORMIER, pour
avoir consenti à nous prêter des lunettes
d’observation. Merci à tous les participants, et toutes
nos excuses pour le retard de parution de ce petit compte-rendu.
Sortie géologie avec Fabrice Redois le 10 Décembre
Effectif : 38 participants
Pour cette fois, la départ était prévu à
10h00, et à dix heures, tout le monde était là, et
prêt à partir. Répartition dans les voitures et
c’est parti, direction Montreuil Bellay au sud de Saumur pour
fouiller son très célèbre Toarcien et ses plus
qu’abondantes Ammonites. Arrivée à la
carrière Saint Eloi vers 11h15. Les fossiles y sont nombreux,
excepté les ammonites qui, elles, se ramassent à la
binette (un d’entre nous trouva d’ailleurs un fragment de
côte laissant supposer un animal de près de un
mètre de diamètre); les Bélemnites sont elles
aussi en très grand nombre ; on trouve d’autre part des
pieds de Crinoïdes (Echinodermes) et une grande diversité
de Lamellibranches et de Brachiopodes. Le temps passe très vite
(encore plus vite pendant les sketchs de Fabrice Redois), il est alors
temps de manger. Fabrice nous conseille alors de nous rendre à
Doué-la-fontaine, à une vingtaine de kilomètres au
sud ouest de Saumur, pour déjeuner dans un bar de sa
connaissance. Dadou, le Président décide alors que nous
ne resterons que 20 minutes. 45 minutes plus tard le groupe se retire,
direction une carrière de Faluns pour y trouver des dents de
requin. Arrivée sur place vers 14h00, petit speech (sketch) de
Fabrice qui nous montre où chercher pour trouver de telles dents
( et qui en trouve une ) et tout le monde s’affaire avec griffes
de jardin, masses de bourrin, marteaux de géologue et on entend
de toutes parts : « ouah ! J’en ai une ! Oh regarde
celle-là ! » Mais aussi : « j’en ai marre
j’en trouve pas ! Ah si … » Et tout le monde
s’en tire avec au moins une demi-douzaine de dents. Fabien
récolte la dent d’or, un spécimen de près de
5 cm, très bien conservé. Quelques dents de requin et de
dorade, quelques palais de Tetraodon, quelques Patelles, quelques
Lamellibranches, et quelques côtes de Lamantin plus tard, Fabrice
nous dirige vers une dernière carrière où nous
sommes sensés trouver des oursins réguliers particuliers,
j’ai bien dit sensés… En effet le soleil commence
à descendre sur l’horizon et tous les participants
commencent à se fatiguer après environ quatorze mille
cinq cents quarante sept coups de marteau fournis, et une
température en chute vertigineuse. Alors deux ou trois oursin et
encore quelques dents cassées plus tard le groupe sort de son
trou et, après un petit discours du Président, se
réunit autour du traditionnel cidre de L’ANUA.
Tout le bureau tient à remercier tous les participants pour
être venus si nombreux, mais surtout Fabrice REDOIS pour son
dynamisme, et pour avoir prévu les trois sites visités.
Merci à lui pour ses petits speechs, et pour ses imitations
d’ammonites…
Sortie traces et indices de la vie sauvage avec Ismaël Lécrivain le 11 Mars
En attendant le compte-rendu voici l'article édité à l'occasion de cette sortie :
Sortie amphibiens avec Alain Pagano, Stéphane Boyer, Cécile Patrelle le 16 Mars
Effectif : 16 participant (dont 2 L2, 1 L1 et 1 M1) ainsi que l’équipe de choc
Le rendez-vous était prévu à 20h30 devant
l’UFR de sciences. Bien qu’ayant rencontré quelques
problèmes pour transmettre l’information (pour cause de
fac bloquée et de mail mal envoyé) une vingtaine de
participants étaient présents, principalement des L3 LBO.
Les conditions météo n’étant pas tout
à fait au rendez-vous, nous avons écourtez la sortie en
nous cantonnant à l’exploration des mares situez à
proximité de l’étang St Nicolas et réservant
une prochaine sortie moins venteuse pour l’écoute du
pélodyte ponctué à Murs Erigné. Pour
commencer la sortie et surtout en attendant l’équipe de
choc composé de Stéphane Boyer, chercheur au laboratoire
de biologie animale, ainsi d’Emilie et Cécile
étudiantes en M2 recherche, munis de waders ; M. Pagano nous a
expliqué les fonctionnements du laboratoire et les
différents axes de recherche qui y sont étudiés.
Puis vers les 21h, nous nous sommes dirigez vers les points d’eau
que nous avons rejoint en passant par le parking du bâtiment L.
Sur la première mare, il y avait beaucoup de
végétation mais fort peu de nos amis batraciens, seul
quelques larves de tritons et 2 pontes de grenouille agile (Rana
dalmatina) y ont été observé. A coté de
cette mare, il y a 2 cavités qui forment de petites
réserves d’eau, où nous avons observé des
larves de Salamandre ainsi qu’un adulte. Nous nous sommes alors
dirigé vers un deuxième site, et ce fut enfin la
délivrance, dalmatina nous y attendais en compagnie de quelques
tritons adultes. Grâce à cet individu unique mais
néanmoins indispensable pour la réussite de notre sortie,
nous avons pu observé les caractères permettant de la
reconnaître et de la différencier des autres grenouilles.
Elles possèdent un triangle foncé derrière les
yeux et des pattes très grandes (plus longues que sont corps)
dont la souplesse ferait certainement pâlir nombres de gymnastes
en herbes. A coté de la Star du moment, nous avons
également croisés le chemin d’un Triton
crêté (Triturus cristatus) dont nous avons pas
réussit à déterminer le sexe. Nous avons aussi vu
4 Tritons palmés (Triturus helveticus) 2 males et 2 femelles qui
sont comme leur nom l’indique reconnaissable à leur
palmure. Nous avons fait ensuite un crochet par une cuvette rempli
d’eau dans la land sèche où nous n’avons pas
vu l’ombre d’un amphibien. M. Pagano pense que cette
cuvette est un point d’eau qui pourrait être trop
temporaire pour être exploitée par les amphibiens pour
leur reproduction. Puis vers les 22h20, nous avons
clôturée la sortie bien heureux de retrouver le confort de
nos voitures à l’abri du vent et des températures
peu accommodantes.